Nom: Hazuki
Prénom: Reila
Âge: 17 ans
Date de naissance: 1er Mai
Signe astrologique: celui qui correspond au premier mai u__u
Aime: Qu'on lui obéisse, la mer, donner des ordres, contrôler les choses, le vert
Aime pas: Qu'on lmui tienne tête, les pleurnichards, l'école, l'hypocrisie, sa famille
Naturel ou Coordinateur ?: Coordinatrice
Caractère physique particulier ? :
Par où commencer?
Il y a d'abord ses longs cheveux verts. Lisses et soyeux, ils retombent sur ses frêles épaules. Leur couleur quelque peut étrange attire les regards, mais on ne s'en occupe finalement plus. Car on est déjà hypnotisé par ses yeux.D'un doré pur, comparable au soleil brûlant, au sable fin du désert, ils vous plongent dans un monde d'or. Son regard est la seule chose qui peut laisser transparaitre son état d'esprit. Souvent indifférent, parfois blasé et rarement chaleureux. Elle réussit l'exploit de rendre glacial un regard aux couleurs si chaudes. Ses orbes dorées éclairent la peau pâle de son visage. D'une clarté presque aveuglante, elle met en valeur ses traits fins.Un visage bien proportionné, de beaux yeux en amande, un nez petit et droit, des lèvres charnues et pleines. Reila peut sans conteste se vanter d'être belle. Son physique avantageux est mis en valeur par diverses tenues moulantes qu'elle aime arborer. La finesse de ses membres laisse transparaitre une fragilite bien trompeuse. Car sous les hanches fins, les bras minces, les épaules frêles se cachent une force non soupçonnée.
Son physique, outre le fait qu'il est attrayant, ne nous révèle que rarement ses émtions. Tout est sous contrôle. Elle n'autorise jamais ne serait-ce qu'un petit doigt à trembler, à démontrer un quelconque état de panique ou de joie. Cette impassiblité qui la caractérique gâche quelque peu la beauté de ses traits. Ils en paraissent plus durs, plus marqués et on peut réellement se rendre compte qu'il n'est pas si facile d'être Soldat. Les traits parfois tirés de la jeune femme en témoignent, ainsi que cette résignation qui semble faire partie d'elle. Ses yeux restent froids et éteints, fermés à toute intrusion. Comment faire pour lui donner un sourire alors? Pour éclairer ses yeux? Pour permettre à ses lèvres de se plisser en autre chose qu'une moue méprisante? Comment chasser la tension qui raidit son corps? Personne ne le sait vraiment. On ne la voit guère sourire. Il faut simplement se contenter des sourires tristes et blasés qu'elle offre. Alors, dans ces cas-là, on se dit que c'est dommage qu'une si jolie fille paraisse si froide... Et bien, on en reparla quand vous serez un peu moins naïfs, pauvres petits gosses de riches que vous êtes...
Caractère [3 lignes minimum] :
Elle apparaît premièrement comme quelqu’un d’assez énergique, toujours déterminé, même si son franc-parler, sa sincérité peuvent en gêner quelques-uns. Elle ne compte plus les fois où elle a vexé les interlocuteurs en leur tenant des discours certes vrais, mais surtout blessants! Elle ne mâche pas ses mots, dit les choses telles qu'elles sont. L'hyopcrisie, la ruse, la répugnent au plus haut point. Elle estime que chacun devrait donner son avis sans avoir peur d'être jugé et sans pour autant juger les autres. Même si elle-même a du mal à respecter ce code. Sa suscepibilité la pousse à ne pas bien prendre les insultes et les marques de non-repsect. Si on la provoque ou si on ne lâche ne serait-ce qu'un malheureux sous-entendu qui mettrait en doute ses capacités, ses paroles, elle démarre au quart de tour. Il ne faut pas l'embêter et remettre en cause ce qu'elle affirme comme vrai.
Son orgeuil, sa fierté lui attirent parfois des ennuis. Elle ne se soumet à personne, veut rester libre de ses mouvements, de ses actions, de ses pensées. Lui dicter sa conduite serait la meilleure chose à faire pour se la mettre à dos. Et si jamais une personne compte parmis ses ennemis, elle ne lui pardonnera rien. Cette fierté trop grande, presque étouffante, se remarque aussi dans ses relations avec les proches. Elle ne veut pas faire le premier pas, veut qu'un vienne à elle. Elle ne supporterait pas de faire des compromis. C'est soit comme elle dit, soit rien du tout. En fait, elle cache, sous ses sourcils froncés et ce caractère turbulent, une âme d'enfant qui n'a pas encore grandi. Elle a si longtemps été privée de liberté qu'elle ne veut plus jamais laisser quelqu'un lui dire ce qu'elle doit faire. Et même si à première vue, elle semble très sure d'elle, elle possède un caractère assez sensible, sous la carapace.
Même si la pitié, la compassion, ne font pas partie des sentiments qu'elle connaît, elle est à l'écoute des autres. Si jamais elle veut aider quelqu'un, elle fera de son mieux pour que cette personne atteinge son but. Tous les moyens seront bons pour y arriver, quitte à mettre sa propre vie en danger. On s'étonne parfois de voir cette jeune femme, qui a l'air si gâtée et si méprisante, venir en aide sans la moindre hésitation à quelqu'un de démuni. Elle n'est pas aussi égoïste qu'elle n'en a l'air, même si elle se préoccupe surtout de ses propres intérêts. S'il faut que pour atteindre un de ses buts, à elle, elle doive abandonner quelqu'un, elle ne se le ferait pas dire deux fois. Son propre bonheur passe au-dessus de celui des autres.Car la personne qui compte le plus pour la jeune femme, c'est elle-même!
Si on regarde ses réactions, Reila ne semble pas vraiment le genre de personne qui donnerait envie de se lier d'amitié à elle. Son caractère emporté, son mépris pour les autres, poussent son entourage à penser qu'elle n'est pas digne de confiance. Et une fois de plus, on se trompe. Si on lui accorde notre confiance, la jeune fille fera tout pour la garder et pour s'en montrer digne. Elle est très sensible au fait que les gens comptent sur elle et ne ferait rien qui puisse les blesser dans ce cas-là.
N'est-ce pas adorable?
Je ne me risquerai pas à le dire. Car avant tout, elle n'est pas vraiment une personne respectable. Elle a manipulé bien des personnes, ne se privant pas de se servir des autres pour arriver à ses fins. Son innocence s'est envolée le jour où elle a compris que personne ne l'aimait. Et depuis ce moment, elle fait tout elle-même, ne comptant sur personne d'autre. C'est peut-être mieux, d'un côté, car elle est très autoritaire et difficile. Elle veut que le travail soit parfaitement effectué. Si jamais un détail n'est pas à sa place, elle se ferait un plaisir d'étriper la personne qui a commis la faute. Tout à fait charmant.
Pour résumer donc: une jeune fille au fort caractère, prête à aider les autres tant que cela ne contrarie pas ses propres objectifs.
Que demander de plus? (Un peu plus de sourires polis et non pas arrogants peut-être? .... Non, oublions!)
Histoire [ 5 lignes minimum] :
Pour pouvoir comprendre pleinement l’histoire de la jeune fille, il faut remonter à 2 années avant sa naissance. Sa mère, alors âgée de 17 ans, tomba amoureuse d'un jeune homme qu'elle ne put épouser. Pour cacher son état, sa famille la donna en mariage à une famille riche et on dit que l'enfant appartenait à l'héritier de cette famille;
mais la mère de Reila était méprisée et haie par cette maisonnée qui la considérait comme une moins que rien.
Ce fut dans ces conditions que la petite Reila vit le jour. Méprisée, avant qu’elle ne naisse, par un clan auquel elle n’appartenait pas vraiment, malgré les traits qu'il lui avait laissés, elle ne se doutait pas que la famille qui aurait du la chérir deviendrait sa pire ennemie. A peine fut-elle née que sa mère mourut. On ne se soucia que très peu de cette femme volage et déshonorée mais on se préoccupa plutôt de la fillette : elle n’avait pas sa place dans cette maison. Il faudrait donc essayer de l’en éloigner, par tous les moyens possibles. Mais comment réussir à faire partir une filette? Aux yeux du monde, si elle mourrait, ce serait un meurtre, on se douterait immédiatement des investigateurs de tout cela. Une décision fut donc prise : il fallait dégoûter la fillette afin qu’elle parte elle-même à un moment.
Pendant 15 longues années, on lui donna une éducation sévère, stricte, dépourvue d’affection et d’amour. Sa mère morte, son « père » la méprisant, les domestiques la traitant comme une moins que rien et les autres enfants la détestant pour son air caractère trop virulent, la petite était malheureuse. Elle se sentait prisonnière de ce milieu qu’elle avait commencé, au fil des années, à détester. Les brimades, les insultes masquées eurent raison de sa patiente. Elle en avait marre de jouer au jeu de la jeune fille étrangère dans sa propre maison, elle en avait marre de ne jamais être reconnue à sa vraie valeur. Son témpérament emporté ne le supportait plus. Elle partit donc de « chez elle ».
Elle se choisit une école qui correspondait à ses gouts, grâce à laquelle elle pourrait gagner sa vie et dont elle se sentirait pour une fois fière. Ayant reçu de sa mère un héritage conséquent, elle vit assez bien pour une jeune fille seule. Elle veut faire de son mieux pour être totalement indépendante.
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Jeu 11 Déc - 16:57
